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Artikel in de Twentsche Courant/De Gelderlander december 2010
over huis- en familiearchieven. lees het artikel...

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Aangetroffen in een brief van A.C.W. Staring aan zijn oom
Everhard Alexander Ver Huell
d.d. dec. 1788. Dichter niet getraceerd.


Thou blessing, sent us….
Thou blessing, sent us from above, Rich offspring of celestial love! Fair Hope! Thij presence let me hail, When grief intrudes, when pains assail. O'er life's rough sea, amid the tempest's roar Pilot my rolling bark,and set me safe on shore'

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Artikel in het Archievenblad over de geschiedenis van het CRPA
(Centraal Register van Particuliere Archieven) Lees artikel als PDF

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Pour mademoiselle Cornélie de Lynden de Parc

Vive la galanterie,
L'amour après souper,
Vroegh of laet men moet eens vrijen
Die niet vrijt leeft als een beer

Me voici donc chère Keetje
Vois icy dans ton amant,
Dat de peerts vijgh ook een beetje
Als de appelen swemmen kan

Mes bouquets, mes serenades,
Mes rubans, mes violons;
Deden die niet meer parades,
Als oijt ijmant onder ons

Chère Keetje de mon Ame,
Seul azyle seul support,
Van al u galans te same
Siet hoe ik geslingert wort

Cést pour toi ma Cornélie,
Que mon pauvre petit coeur
Cruijst op elboogh en op knie
' k Heb voor niet geen bleke cleur

Mais si vous voudriez connoistre
Cet amant, cet inconnu
Siet of hij daer in peut-être
Kan bekent worden aen U.


Lorsque vous verrez un homme
Croupissant et languissant
Die niet eeten, drincken, droome
Slapen, gaen, noch staen en kan


Qui lamente, qui soupire
Wanneer dat hij seulement
't Cleijne Jawoortje desire,
Als ghij dit siet denck dan an

Votre très humble, très passionné et très amoureux serviteur, valet et amant N.N.

Dit vers is geaccompagneert geweest met een bouquet van alderhande wilde bloemen en groentens en door een onbekent mensch aan haar Hoogwelgeborene gesonden.

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Uit ‘Pro Mémoire’, een bundel met adversaria
van Antoinette Charlotte Leopoldine von Borcke (1735-1803), 1750 en z.j

Quand mon cœur fait un pas, aussitôt je l’arrête,
Tous ces galons polis sont d’aimables fripons
Qui deviennent tyrans dès que nous épousons
Ils jurent à nos pieds des flammes éternelles
Femmes de ces Messieurs, nous cessons d’être belles
Tous ce qu’ ils les charmoit disparoit à leurs yeux
Ils sont chagrins, bourrus, ennuyés, ennuyeux
La première que non leur paroitra piquante`
Et ce que n’est point nous, les frappe et les enchante
Oui, voilà les maris tels qu’ils sont à present
Encore exigent-ils un esprit complaisant.

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Vondst...

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